Previous Chapter Back to Content & Review of this story Next Chapter Display the whole story in new window (text only) Previous Story Back to List of Newest Stories Next Story Back to BDSM Library Home

Review This Story || Author: Perverpeper

Histoire de Sandrine

Chapter 4

Histoire de Sandrine (4)


Par Perverpeper le 31/07/08



F/f F+/f F/f+ F+/f+ teen enema exhibition WaterSport bestriality BDSM feet hair slavery scatology college hightSchool job slow reluctant humiliation blackmail torture nc Heavy


Synopsis�: Sandrine est une jeune lyc�enne. Quelques jours apr�s avoir f�t� ses 18 ans, alors que le baccalaur�at nest plus qu� quelques semaines, elle est enlev�e par une femme richissime qui linitie aux peines et aux joies de la soumission.


La meilleure fa�on de faire tourner la t�te � une femme, cest de lui dire quelle a un beau profil.

Sacha Guitry


Chapitre 4�: Premier contrat.


Protagonistes�:


Sandrine�:        Jeune lyc�enne �g�e de 18 ans depuis quelques jours.

Madame�:        Jolie blonde dune quarantaine dann�es. Duchesse de Villemonble et Ma�tresse de Lisette.

Lisette�:        Petite soubrette vicieuse, dune vingtaine dann�es, au service de Madame depuis quelques ann�es.

Christelle�:        �me damn�e de Madame. Elle fait office de chauffeur et prend beaucoup de plaisir � faire souffrir.

Ghislaine�:        Amie de Sandrine.

Sylvie�:        Amie de Sandrine

Lee�:                Doctoresse, amie de Madame



Je suis affam�e et cela me distrait quelque peu du d�sir qui me ronge. Nous nous trouvons toutes les quatre devant limmense table dress�e contre la baie vitr�e. Elle doit mesurer plus de quinze m�tres de long sur deux de large. Cest la premi�re fois de ma vie que je suis convi�e � d�ner dans un endroit aussi luxueux. Le soleil commence � d�cliner et ses multiples couleurs rougeoyantes baignent la salle de r�ception dune teinte douce et chaude qui se refl�te sur la nappe immacul�e. Il sagit de la grande pi�ce que jai vue en arrivant avec Lisette. Situ�e face au bureau de Madame, elle donne sur lautre c�t� du Parc.

Madame donne le signal des r�jouissances en sasseyant, imit�e par Christelle et le docteur Lee. Je fais de m�me.

Toutes trois se sont attabl�es c�te � c�te. Madame pr�side � un bout, tandis que je suis assise, seule, de lautre c�t�, face � elle. Curieusement, lorsque Lisette a dress� la table, elle ne ma mis ni couverts ni verre. Je ne dispose pour manger que dune superbe assiette en porcelaine et une �cuelle en argent de grande marque qui me fait penser � un r�cipient pour rince doigts.

Apr�s quelques instants, Madame se l�ve et sapproche de moi. Sa d�marche chaloup�e et la gr�ce avec laquelle elle se tient me font frissonner, tant je la trouve resplendissante dans la clart� finissante du soleil. 

��Sandrine, je te fais lextr�me honneur de taccepter � ma table, jesp�re que tu en seras digne. Tu apprendras que je suis tr�s exigeante en ce qui concerne la tenue � table. Ce soir, ce ne sera pas une t�che facile car tu devras garder les mains crois�es derri�re ton dossier pendant tout le repas. Je place de grands espoirs en toi et je pense, sans conteste, que cette �preuve, comme les pr�c�dentes, est � ta port�e. Bien entendu, les consignes pr�alables restent en vigueur. Tu ne seras autoris�e � parler que si je tadresse la parole. Je compte sur toi, est-ce bien compris�?��

D�cid�ment, il ne se passe pas un moment sans que lemprise que cette femme exerce sur moi ne se renforce. Jacquiesce timidement.

Je fais de mon mieux pour madapter � cette nouvelle brimade. Le menu est digne dun restaurant quatre �toiles.  En entr�e, une farandole de petits toasts grill�s tartin�s de foie gras, puis de saumon et de caviar�; succulent. Jamais, je nai eu la chance, auparavant, de me d�lecter dun repas aussi savoureux. Le traiteur est certainement lun des plus fameux de la r�gion parisienne. Dans lincapacit� de messuyer la bouche, je picore tr�s lentement, mappliquant � manger le plus proprement possible, sous les regards amus�s de mon h�tesse. Seules ombres au tableau, les plats sont fortement �pic�s et mon envie duriner ma repris d�s le premier verre. En fait de verre, Lisette a rempli deau p�tillante la petite �cuelle en argent et la plac�e � c�te de mon assiette. Je dois laper comme un animal pour me d�salt�rer. Jai une soif terrible et je dois passer outre la honte que je ressens � mavilir ainsi. Je nai droit qu� de leau p�tillante, tandis que les trois femmes d�gustent un vin rare qui, � les entendre, est tr�s fin. Encore une vexation, certainement destin�e � me conforter dans ma nouvelle condition d�tre inf�rieur.

Cest Lisette qui fait le service. Elle est de nouveau affubl�e de son uniforme de soubrette, � la diff�rence pr�s quelle ne porte pas de jupe. Parfois, Madame lui chuchote quelque chose � loreille et elle vient maider � boire en me tenant l�cuelle. La perversit� de la situation ne minterpelle plus. Je my suis habitu�e, telle une victime de la propagande qui finit par trouver normal le plus odieux des abus.

Au d�but du repas, Christelle la examin�e attentivement. La petite bonne sest assise sur la table, cuisses grandes ouvertes et a d� �carter les l�vres de son sexe dans une exhibition obsc�ne. Ensuite, elle sest mise � quatre pattes afin de pr�senter son anus. De ma place, Il ma sembl� que la chair de son pubis avait encore rougi, quant � ses fesses, il ne fait aucun doute que la sauce piquante fait son office. Une marque rouge correspondant � la zone enduite, ressemblant � une crise durticaire, d�borde de son entre fesses et forme comme une cible rouge qui contraste avec sa peau blanche z�br�e de marques sombres.

Je mange silencieusement mais avec app�tit. Chaque fois quelle est inactive, ma compagne dinfortune sagenouille contre les jambes de sa Ma�tresse, � c�t� de la table. Pr�te � ex�cuter servilement le moindre de ses ordres. Elle se pr�cipite pour resservir d�s quun verre se vide ou chaque fois quun des convives en exprime le souhait. De temps � autre, une main ou un doigt indiscrets s�garent sur ses charmes expos�s.

Lorsque Lisette remplit mon �cuelle pour la deuxi�me fois, ma situation commence � se d�grader. Leau p�tillante amplifie mon envie de faire pipi sans pour autant apaiser ma soif attis�e par les condiments contenus dans ma nourriture. Jai de plus en plus de mal � tenir en place. � lautre bout de la table, les trois femmes m�nent une discussion anim�e dont je suis exclue. Avec le temps qui passe, mon besoin se fait pressant. Pi�g�e par mon silence forc�, je dois ronger mon frein, priant pour parvenir � me retenir jusqu� la fin du repas.

Le rythme du service est tr�s lent. La conversation des trois femmes s�ternise. Elles se font resservir sans me pr�ter la moindre attention. Syst�matiquement, je suis la derni�re � �tre servie. Je me sens dans la peau dune petite fille convi�e � un banquet dadultes qui serait la seule enfant � table. Les plats se succ�dent avec une lenteur d�concertante.

La pression dans ma vessie devient douloureuse. Le seul moyen dont je dispose pour me soulager quelque peu consiste en un mouvement lat�ral des genoux que je serre et desserre le plus discr�tement possible. Je nose pas imaginer le traitement que Madame me ferait subir si je me laissais d�border par mon envie et faisais pipi sur mon fauteuil. Les minutes s�gr�nent lentement et les regards tant�t narquois, tant�t suspicieux quelle me lance fr�quemment me confortent dans mes r�solutions.

Apr�s avoir servi le plat de r�sistance, Lisette est venu massister. Elle me nourrit comme un enfant en bas age qui ne saurait pas tenir une cuill�re sans en mettre partout. La transpiration qui exsude de son corps et son visage t�moigne des tourments quelle endure. Quelques regards appuy�s mont fait sentir quelle a per�u mon d�sarroi. Chacune dentre nous endure silencieusement, son supplice. Malgr� la temp�rature cl�mente, jai des sueurs froides.

Le plat principal est tr�s �pic�. Discr�tement, elle ma fait comprendre quil me fallait tout manger. Ma soif grandissante ajoute � mon calvaire. En d�sespoir de cause, jai bu deux grandes �cuelles suppl�mentaires, non sans avoir tent� dy r�sister le plus longtemps possible.

Lorsque enfin arrive le dessert, ma vessie est au bord de lexplosion. Des tremblements convulsifs agitent mes jambes et jai toutes les difficult�s du monde � r�primer ceux de mes mains. Je dois �tre tr�s p�le car, brusquement, Madame sinterrompt en plaquant sur moi un regard inquisiteur.

��Quelque chose ne va pas Sandrine�?�� Me demande-t-elle avec un petit sourire narquois qui me trouble jusquau plus profond de mon �tre.

Cest loccasion ou jamais. Je me jette � leau.

��Cest que��� Son regard hypnotique me fait perdre mes moyens. Jai le sentiment que ses grands yeux bleus arrivent � lire mes pens�es.

��Cest que���

��Eh bien que se passe-t-il�ma fille ? tu radotes�?�� 

��Je� jai� jai envie de faire pipi.�� Dis-je avec une toute petite voix de gamine, accabl�e par les trois paires dyeux braqu�es sur moi.

��La belle affaire�! Cest pour �a que tu te mets dans tous tes �tats�? Javais peur que tu sois encore malade. Si ce nest que �a. Le repas touche � sa fin, tu nas plus longtemps � patienter.�Je te conseille quand m�me fortement de ne pas me faire honte, ma belle��� Ajoute-t-elle dune voix lourde de sous-entendus.

Sur ce, elle se d�sint�resse de moi. Seule Lisette me fait discr�tement un clin d�il encourageant. Bien entendu leur discussion soriente sur les probl�mes dincontinence et les vertus diur�tiques de leau p�tillante. Cest en souffrant le martyre que je dois patienter. De temps en temps, Madame me lance un regard suspicieux, comme pour v�rifier si je suis bien ses recommandations.

Lorsque enfin arrive le moment des caf�s, elle se penche vers Lisette et chuchote longuement quelque chose � son oreille.

Puis, sadressant � moi. ��Alors ma ch�rie, tu tiens le coup�?�� La petite bonne se h�te vers la cuisine. 

Je nen peux plus. Jagite mes jambes en ciseaux avec l�nergie du d�sespoir. Mes efforts de discr�tion sont remis�s depuis longtemps. Des frissons glac�s me transpercent comme des coups de poignards. Jai limpression que ma vessie � tripl� de volume. Des tremblements incontr�lables me parcourent jusquau bout de mes doigts.

��Je� Je vous en supplie Mad� Madame, il faut absolument que jaille aux toilettes. J� Je nen peux plus.�� Des larmes de d�tresse me noient les yeux.

��Et tu crois que pleurer va te soulager�?�� Son ton cruel ach�ve de me d�contenancer.���Le vieil adage�: Pleure, tu urineras moins�� Ajoute-t-elle en sadressant aux deux autres qui �clatent de rire. Incapable de contenir mon chagrin, je fonds en larmes.

��Mais quel �ge mental as-tu donc�pour sangloter ainsi. Si tu te voyais. Tu vas faire couler ton beau maquillage.�� Aussi incroyable que cela puisse para�tre, sa voix intraitable me redonne des forces.

��Lee, jaimerais que tu v�rifies sa tension sil te pla�t. Je la trouve dune p�leur inqui�tante.�� Dit elle en sadressant � lasiatique, comme si j�tais un objet.

La doctoresse se l�ve et vient sasseoir � c�t� de moi pour prendre mon pouls. Sa main se pose sur mon ventre gonfl�. D�licatement, elle masse ma vessie. Je pousse un cri de surprise.

Christelle �clate de rire. ��Avec tout ce quelle a bu, elle doit avoir la vessie aussi gonfl�e quune outre.�� La rousse semble se d�lecter de mon supplice. Elle tend son verre dans ma direction avant de le porter � ses l�vres. ��� ta sant� ma jolie.��

La main sur mon ventre moccasionne des douleurs qui se r�percutent sur mon m�at urinaire. Tous mes muscles sont contract�s � bloc ��Pauvre petite fille qui a envie de faire pipi�!�� Son comportement m�tonne, elle qui avait �t� si douce et pr�venante tout � lheure. 

Enfin, Lisette revient avec les caf�s. Au milieu de son plateau, une grande soupi�re en argent est pos�e, de fa�on incongrue, parmi les tasses. Sans se d�partir de son style, elle sert les trois femmes, puis d�pose ma tasse devant moi.

��Merci Lisette. � ta place maintenant.��

��Bien, Madame.�� Elle se saisit de la soupi�re, en �te le couvercle et sagenouille � mes pieds.

��Allez, bois vite ton caf� et tu pourras te soulager.�Je tautorise � te servir de tes mains pour aller plus vite.��

��Merci Madame.�� Jai puis� dans mes forces ultimes pour employer un ton respectueux et ne pas trahir mon impatience. Ca nest pas le moment de la faire changer davis.

Pr�cipitamment, je porte la tasse fumante � mes l�vres. Le caf� est bouillant. Je nai pas le temps de le laisser refroidir. Mes l�vres et ma langue vivent un enfer, tandis que je macquitte de cette derni�re �preuve sans aucune distinction. Soudain, deux mains se posent entre mes genoux et les �cartent tr�s largement. Lisette sest gliss�e entre mes jambes. Leffet de surprise a failli me faire l�cher un jet durine.

��Surtout, suis bien toutes mes instructions.�� Me dit-elle de sous la nappe. ��Recule ton fauteuil dun m�tre et avance-toi le plus au bord possible.��

Pr�te � tout pour en finir avec ma torture, je mempresse dob�ir. Les trois femmes se sont lev�es et sapprochent de nous. Lisette place la soupi�re entre mes jambes, tout contre mon sexe imberbe. De ses coudes, elle pousse mes genoux, m�cartelant presque en position de grand �cart.

Enfin, je comprends o� elles veulent en venir. Le repas �pic�, leau p�tillante, tout cela est pr�m�dit�. Je vais devoir uriner dans la soupi�re devant tout le monde. Mais mon envie est tellement forte que je ne peux r�sister une seconde de plus�?

Cest alors que la petite bonne place sa bouche contre mon sexe�

��Cest bien ma fille, juste � temps semble-t-il.�� La voix grave de Madame me para�t irr�elle, tant je suis abasourdie par le comportement de Lisette. Ses l�vres sappuient fortement contre mon sexe  et je la sens effleurer ma corolle du bout de la langue. Une onde formidable de plaisir commence � �clore entre mes cuisses Quelques gouttes de pipi m�chappent. Lisette les avale sans coup f�rir.

��Allez, Sandrine. Cest lheure de la d�livrance ma ch�rie.�� Sa main remplace celle de la doctoresse.

Partag�e entre honte et plaisir, je mabandonne avec un soulagement salvateur dans la bouche de la petite bonne.

��Nen perds pas une goutte, ma fille. Si jamais tu taches le tapis���

La menace, rest�e en suspens, semble galvaniser Lisette. Elle applique ses l�vres encore plus herm�tiquement contre ma vulve. Le bruit de ma miction, �touff� par sa bouche, est recouvert par celui de sa gorge. Elle avale � grandes gorg�es mon urine si longtemps contenue.

Jamais je naurais pu imaginer vivre un �v�nement aussi d�gradant et excitant � la fois. Je narrive pas � d�tacher mes yeux du visage de la soubrette. Les yeux ferm�s, concentr�e sur sa t�che, elle fait son possible pour ne pas perdre le rythme. Mais il y a trop longtemps que je me retiens et le d�bit de ma miction est trop puissant. Rapidement, je constate quelle est d�pass�e par le flot que jexpulse avec force dans sa bouche. Ses joues se gonflent. Chaque gorg�e lui fait prendre du retard. Visiblement, elle na pas le temps de respirer.

Au prix dun effort consid�rable, je parviens � interrompre le jet de pipi. Ma vessie est moins douloureuse. �a lui laisse le temps de reprendre son souffle. Il �tait temps. Au m�me moment, Lisette �met une quinte de toux. La pauvre petite a aval� de travers. Un peu durine s�coule de ses narines.

��Cest d�j� termin�?�� Me raille Madame. ���a ne valait pas la peine de faire une telle com�die ma fille.��

Je l�ve des yeux implorants vers elle. � c�t� delle, lasiatique a �cart� les pans de sa blouse blanche pour glisser sa main entre ses cuisses. Un peu plus loin, Christelle tient un cam�scope et immortalise notre performance sans en perdre une miette. Elle sapproche de nous et saccroupit � c�t� de moi. Je limagine faisant des gros plans sur mon visage, mon sexe et la bouche de Lisette.

Une d�charge de plaisir traverse mon clitoris. La soubrette sest reprise, elle me l�che avec gourmandise, comme pour me remercier de ma pr�venance.

��J� Jai enc� encore envie.�� Parviens-je � articuler avec difficult�s.

��Et bien. Quest ce que tu attends petite idiote�?��

Je me l�che � nouveau. Le jet, tout aussi puissant quauparavant, percute la gorge de la petite bonne avec force. Je me demande comment elle fait pour ne pas en mettre partout. Visiblement, elle est rompue � ce genre dexercice.

Il ma fallu minterrompre deux autres fois, pour les m�mes raisons. lorsque mon envie commence � faiblir, apr�s ce qui ma paru durer une �ternit�, Lisette recommence � me l�cher avidement. Piteusement, je g�mis sous lassaut des vagues de plaisir qui se r�percutent jusquau bout de mes seins. Je mimagine, � travers le viseur de la cam�ra, obsc�ne, les cuisses largement �cart�es, bras crois�s dans le dos, le visage ravag� par la mont�e de la jouissance. Cette pens�e me fait leffet dun coup de fouet et porte mon excitation � son comble. Un torrent de lave en fusion menace dexploser dans mes muqueuses gorg�es de sang.

Je suis au bord de lorgasme. Ma source sest tarie. Seule la langue de Lisette me relie � la r�alit�. Des vagues de plaisir se succ�dent � un rythme infernal. Mes jambes et mes bras commencent � sengourdir quand, soudainement, sur un geste de Madame, Lisette sinterrompt.

��Non�!!!�� Le cri du c�ur. La frustration est trop forte. ��Continue, ne tarr�te pas, je ten supplie�!!!�� Par r�flexe, ma main droite vient remplacer sa bouche, irr�m�diablement attir�e par mon sexe en �moi. Tout en moi r�clame d�sesp�r�ment cet orgasme fabuleux quelle vient de "court-circuiter".

Un coup sec de cravache, sur ma main, me fige dans cette position. ��Ca ma fille, cest hors de question.�� La voix de Madame vibre de col�re. R�gle n�1�: Cest moi et moi seule qui d�cide quand tu peux avoir du plaisir. Te caresser sans ma permission constitue une faute tr�s grave�

Je reprend contact avec la r�alit�. Je me sens prise en faute. Mes sentiments se m�langent. Dun c�t�, jai limpression davoir �t� d�poss�d�e dun bien inestimable. Mais dun autre, un sentiment de d�gradation profonde me culpabilise au plus haut point. Un vide abyssal occupe mon esprit. Jamais, depuis ma plus tendre enfance, lid�e davoir m�rit� une punition ne m�tait apparue avec autant d�vidence.

��Tu nas pas honte, esp�ce de sale vicieuse. Prendre du plaisir en urinant dans la bouche de ma bonne. O� te crois-tu donc�? Dans un lupanar�?��

Son humeur massacrante me blesse terriblement. Ses yeux expriment la col�re avec encore plus de vigueur que ses paroles. Jai le sentiment davoir commis un acte irr�parable.

��Si jamais cela devait se reproduire, je donnerais carte blanche � Christelle pour soccuper de toi pendant 24 heures.�� Lid�e, terrorisante, d�tre tortur�e � laide dun briquet simposa � mon esprit.

��Sors de l�-dessous, toi�!�� Ordonne t-elle s�chement. ��La table ne va pas se d�barrasser toute seule.��

En moins de temps quil nen faut pour le dire, la soubrette se tient debout devant sa patronne.

��Christelle, v�rifie quelle na pas sali.�� Son ton ne souffre pas la contradiction. Sans un mot, la rousse se pr�cipite. Il est �vident que personne dans la maison ne souhaite affronter son courroux.

��Quant � toi, je me demande si je ne vais pas te renvoyer chez toi.��

Un coup de massue naurait pas eu deffet plus d�sastreux. Lenvie duriner qui mavait tortur�e pendant tout le repas n�tait rien en comparaison de cette menace. Dans une circonstance normale, jaurais d� �tre heureuse de cette issue. Jaurais d� me r�jouir de retourner � ma vie ant�rieure, mes parents, mes amies, le lyc�e. Mais voil�, tout avait chang�. Mes priorit�s sont tout autres. Lid�e d�tre chass�e comme une malpropre, d�tre rejet�e par cette femme mest, tout � coup, insupportable. Pas un instant, malgr� tout ce que javais endur� depuis que je fr�quentais cette femme, je navais envisag� pareille possibilit�.

��Non�!�� Le cri du c�ur. ��Je vous en supplie, Madame, ne faites pas �a.��

Quelle esp�ce de monstre de foire avait-elle fait de moi pour que je prenne tant de plaisir � me faire humilier, maltraiter et que jen redemande.

��Et pourquoi ne le ferais-je pas�? Quelle mis�rable raison peux-tu me donner pour me donner envie de te garder avec moi�? Tu as pass� pr�s de deux jours ici, nourrie, log�e et blanchie. Tout cela�repr�sente des d�penses petite sotte. Serais-tu idiote au point de croire que le d�ner de ce soir est tomb� du ciel�? Il y en a, au bas mot, pour Quatre mille Euros. Et je ne compte pas le service. Comment comptes-tu me d�dommager de tous ces frais�?��

La crise de larmes. ��Tout ce que vous voudrez, Madame, je ferais tout ce que vous voudrez. Ne me rejetez pas. Piti�.�� Dis-je en sanglotant.

��Tout ce que je voudrais�? Mais tu fais d�j� tout ce que je veux, esp�ce de d�vergond�e.�Regarde toi. Avec ton rimmel qui coule, on dirait une tra�n�e. Que veux-tu que je fasse de toi�?��

��P� Pu� Punissez m� Punissez-moi si vous voulez mais je vous en prie� N� Ne me renvoyez pas.��

Elle marque un silence. ��Il est clair que tu as m�rit� une punition��� Pas un bruit ne vient troubler sa r�flexion. Seuls mes reniflements retentissent lamentablement. ��Je veux bien �tre magnanime. Nous pouvons peut-�tre trouver un arrangement, toi et moi��� Elle sinterrompt � nouveau. ��Je te propose une p�riode dessai de� Il est huit heures du soir� Disons que je te garde � lessai pendant vingt heures. Nous ferons donc le point demain apr�s midi � quatre heures pr�cises. Quen penses-tu�?��

Je me jette � ses pieds. Des larmes de soulagement se m�lent � celles de mon chagrin. ��Je vous remercie Madame.�� Humblement, je pose ma joue contre sa botte. Sa mansu�tude me remplit de bonheur. Elle recule son pied oppos� dans un geste dinvite. Avec reconnaissance, je couvre de baisers le cuir verni quelle daigne mettre � ma disposition.

��Attention, jeune fille. Il ne sagit pas dune d�cision � la l�g�re. Au cours des vingt prochaines heures, il ne sera pas question de changer davis.�Quelles que soient les difficult�s que tu rencontreras. Nous sommes bien daccord�?��

��Oui, oui Madame. Je vous promets que vous ne le regretterez pas.��

��Bien �videmment, tu seras punie pour ton inconduite. Es-tu s�re de pouvoir tenir tes engagements�?��

��Oui Madame. Gardez-moi pr�s de vous sil vous pla�t.��

��Bon, jen ai presque termin�, il faudra aussi que tu sois parfaitement ob�issante. Cest-�-dire que non seulement, tu ex�cuteras tous mes ordres, mais en plus tu devras le faire avec enthousiasme. Je veux te voir prendre plaisir � tout ce que jexigerai de toi. Au moindre signe de refus, au moindre manque dardeur de ta part, notre march� serait aussit�t rompu.��

� Je ferai tout ce que vous voudrez Madame.��

��Bien, lincident est clos. Lisette, ta punition est termin�e. Quand tu auras fini de d�barrasser, tu retrouveras Sandrine dans le bureau. Christelle a quelques formalit�s administratives � r�gler avec elle. Ensuite vous irez vous faire belles et vous mattendrez toutes les deux � vingt deux heures pr�cises devant la piscine.��

��Comme vous voudrez, Madame.��

La rouquine sapproche de moi, attache une courroie de cuir � mon collier et mentra�ne � sa suite, en laisse. Nous suivons le long couloir. Elle est plus grande que moi et avance dun pas d�cid�, mobligeant � trottiner pour la suivre. A sa taille, pend une cravache qui bat contre ses mollets � chaque pas. Petit � petit, je me remets de mes �motions. Quelles peuvent �tre ces myst�rieuses formalit�s administratives�? Nous p�n�trons dans la pi�ce dans laquelle je lai vue la premi�re fois.

��Assieds toi l�.�� Mordonne-t-elle en me d�signant un des fauteuils plac�s face au bureau. ��Mains dans le dos, cuisses �cart�es.��

Elle prend place, face � moi. Le bureau, enti�rement en acajou, est gigantesque. A chacune de ses extr�mit�s, est dispos� un �cran plat. Parfaitement � son aise, elle sempare dune souris et manipule les fichiers pendant quelques instants. Je lobserve. Malgr�  son air s�v�re, elle a un beau visage et ses cheveux courts lui donnent une allure masculine. Ses yeux verts sont vifs. Elle se penche et saisit un document qui vient de surgir silencieusement dune imprimante situ�e sous le bureau.

��Quest-ce que tu regardes�?��

Prise en faute, je baisse les yeux. Je nai encore jamais vu cette femme sourire. Son visage mince et aust�re ne semble jamais se d�partir de lair strict quelle arbore en me fixant.

��Je tinterdis de lever les yeux sur moi. Compris�?�� Son ton agressif me fait frissonner.

��Oui, Madame.��

��Oui qui�?��

��Oui, Christelle.��

��Je pr�f�re �a.�� Se d�sint�ressant totalement de moi, elle croise ses pieds sur le bureau et commence � parcourir le document. Sa courte jupe en cuir noir d�nude une grande partie de ses longues jambes gain�es de nylon fonc�.

��Monte sur le bureau et mets toi � quatre pattes.�Position n�5.��

Une bouff�e de chaleur me monte au visage. Jescalade limmense bureau. Les �crans sont tant �loign�s lun de lautre que je pourrais m�tendre de tout mon long entre eux. Mes pointes de seins se tendent.

Elle se replonge dans sa lecture. Ses pieds reposent contre les miens. Non sans appr�hension, j�carte docilement mes fesses. Un souffle dair frais se faufile dans mon intimit�, ravivant la sensibilit� de mon clitoris.

��Pas comme �a, petite vicieuse�! Face � moi.��

Rouge de honte, je pivote sur mes genoux, sans l�cher mes fesses. Mes t�tons sont durs comme du bois. Je me retrouve � quelques centim�tres de ses escarpins rouges � talons aiguilles. Ses jambes, gain�es de nylon noir hypnotisent un moment mon regard.

��Penche-toi mieux que �a.��

Cramponn�e � mes fesses, jappuie mon menton contre la surface polie. Ses pieds se d�placent et viennent sappuyer contre mon visage. Une odeur de cuir et de transpiration m�l�s p�n�tre mes narines. Avec un petit rire narquois, elle frotte la semelle de son pied gauche contre ma joue droite. Le contact rugueux est d�sagr�able. Une goutte de transpiration ruisselle de mon front et glisse le long de mon nez, provoquant une d�mangeaison que je peine � contenir. Du bout de sa cravache, elle tapote ma joue droite. Mon esprit se brouille. Entre mes fesses �cartel�es, le courant dair me fait �prouver une sensation glac�e, me faisant r�aliser � quel point mon intimit� est humide. Un coup de cravache plus sec que les autres me force � tourner la t�te. Je me retrouve face � ses escarpins. Su leur dessus �vas�, des ouvertures r�v�lent le nylon noir qui gaine ses pieds.

Lodeur devient ent�tante. Cette femme sent des pieds.

��Embrasse mes orteils.��

Je surmonte ma r�pugnance et pose mes l�vres sur son gros orteil. L'effluve est forte, le nez coll� � ses escarpins, je respire avec d�go�t cette fragrance humiliante�; cuir, vieux fromage et transpiration m�lang�s. L�vres appuy�es sur le nylon noir, je d�pose baiser apr�s baiser sur le pied de ma tourmenteuse. La rousse ne prof�re pas un son. Seuls, le cliquetis de sa souris et le ronronnement de limprimante expulsant imprim� apr�s imprim� percent le silence de la pi�ce. Un besoin irr�sistible sempare de moi. Une envie imp�rieuse de glisser mon doigt entre les l�vres de mon sexe. � la torture, mon souffle sacc�l�re. Lhorrible odeur de pieds simpr�gne dans mes narines. Discr�tement, mon index progresse au c�ur de mon intimit� d�tremp�e. Jamais, au grand jamais, je nai ressenti un tel d�sir.

��La semelle, maintenant.��

Job�is servilement en tendant d�sesp�r�ment mon doigt pour atteindre mon clitoris impatient. Ses chaussures sont poussi�reuses et le contact avilissant du cuir r�che et us� ajoute � mon humiliation. Lorgasme, si longtemps contenu, monte brusquement au creux de mes reins, mena�ant de d�ferler en moi, avec la puissance dun torrent ayant rompu ses digues. Du bout de longle, jeffleure mon petit appendice en feu.

Soudain, une douleur fulgurante explose au milieu de mon dos.

��Qui ta permis de te tripoter�? Petite cochonne.��

La douleur, ajout�e � la surprise, sont telles que je me redresse en grima�ant. Un nouveau coup me scie la hanche gauche. Je sursaute en tendant mes mains devant moi, dans un geste d�risoire de protection. Mes yeux se noient de larmes.

��Est-ce que je tai demand� darr�ter�?�Embrasse ma semelle imm�diatement.�� Dit-elle en armant une nouvelle fois son bras.

Terroris�e, je mempresse de me remettre � louvrage, ongles crisp�s sur mes fesses. Elle na pas boug�, se contentant de me flageller avec toute la force dont elle disposait. La douleur cuisante rel�gue le d�sir qui me taraude aux tr�fonds de ma libido.

��Petite didiote�!�� Rajoute-t-elle dun ton m�prisant. ��Tu croyais que je ne me doutais pas de ton petit man�ge�? Sache quaucun de tes faits et gestes ne peut m�chapper. Tiens, regarde par ici.��

De sa cravache, elle me tapote la joue droite pour me faire tourner la t�te. Sur ma gauche, un gros plan de mon visage occupe tout l�cran. La d�finition est telle que je distingue mes larmes. Mon maquillage a coul�. Un clic, et limage de mon dos se substitue � la pr�c�dente. Une estafilade rouge, boursoufl�e, tranche avec la blancheur de ma peau, visible comme le nez au milieu de la figure.

��Madame va �tre furieuse contre toi.�Je naimerais pas �tre � ta place quand elle va savoir �a.��

Cette nouvelle r�v�lation me plonge dans un abyme de perplexit�. Je comprend mieux linqui�tude de Lisette quand elle redoutait les cam�ras dans linfirmerie et les douches. Big-Brother is watching you�

��Tout le manoir est sous surveillance �lectronique. Tu es film�e en permanence et tout est enregistr� sur disque dur. Je visionne tous les fichiers avant de les s�lectionner pour Madame. Le moindre manquement sera implacablement ch�ti� avec la plus grande s�v�rit�. Jattends avec impatience quelle te confie � mes bons soins. Jai h�te de mamuser avec ton joli petit corps de vicieuse.��

Un immense d�sespoir menvahit. Mon dos et ma hanche me font extr�mement souffrir. Je mimagine, nue, entrav�e et �cartel�e, livr�e aux pires tortures que cette femme sadique pourrait minfliger. Mon sang se glace. Une fois, elle ma tortur�e avec un briquet� Jai eu des cloques pendant plusieurs jours� Le souvenir des paroles de Lisette me fait leffet dune douche froide. Tout mon corps se couvre de chair de poule.�

��Tiens.�� Dit-elle en me tendant un imprim� � ent�te de lagence de mannequins. ��Lis �a.�� 

ANGELS

Mannequins




Nom�:

Pr�nom�:

Adresse�:




                       Par la pr�sente, jautorise toute personne, mandat�e par, ou travaillant pour lagence "ANGELS Mannequins" � me photographier et � me filmer quel que soit le proc�d� utilis�. De la m�me mani�re, jautorise Madame Ir�ne de Villemonble, Duchesse de Villemonble, repr�sentante et directrice g�n�rale de lagence�: "ANGELS Mannequins" � exploiter mon image sous quelque forme que ce soit y compris commerciale. En r�mun�ration de ces services, je reconnais b�n�ficier et avoir b�n�fici� du soutien financier et moral de la Duchesse de Villemonble � qui je donne tous pouvoirs pour g�rer ma carri�re et  mener notre relation, quelle soit professionnelle ou priv�e comme elle lentend. En aucun cas, je ne me pourrais me retourner contre elle ou lagence "ANGELS Mannequins", quelle que soit lissue de cette relation.

Je certifie �tre majeure et consentante, en pleine possession de mes moyens et agir en connaissance de cause.





Fait �                                le


Signature




� Lis � voix haute, remplis les rubriques et signe.�� Dit-elle en me tendant un magnifique stylo de marque. ��D�p�che-toi, nous nallons pas y passer la soir�e.��

Elle se l�ve et me contourne. Du bout des ongles, ses doigts effleurent les marques de cravache quelle ma inflig�es. Malgr� moi, je me met � geindre piteusement.

��Contente toi de lire au lieu de g�mir comme une petite chienne.��

Je continue ma lecture avec le sentiment d�tre revenue sur les bancs de l�cole, confront�e � une institutrice tyrannique. Sa main descend sur mes fesses et les caresse longuement, d�licieusement, avant de saventurer entre elles.

��Tu mouilles comme une fontaine.��

Un coup d�il sur l�cran me r�v�le mon visage, rouge pivoine. Du bout de longle, elle agace longuement mon anus pendant que je macquitte de ma t�che. Dune simple signature, je viens de donner tous pouvoirs � Madame de Villemonble pour utiliser comme bon lui semble toutes les vid�os compromettantes quelle a fait de moi.

��Bien. Ce nest pas trop t�t.�� Dit-elle en marrachant limprim� des mains. ��Nous nen avons pas termin� pour autant.�� Apr�s s�tre rassise tranquillement dans son fauteuil, elle me tend une pile de documents et un classeur. ��Tourne-toi dans lautre sens et classe les dans les pochettes�pendant que je v�rifie si tu nas pas fait derreur.��

Le classeur est rempli de pochettes transparentes. Je me retourne et me prosterne pour accomplir le travail. Je dois prendre les feuilles une par une et les ranger � tour de r�le. Il y en a une bonne centaine. Sur chacune delles, figure une description minutieuse des obligations auxquelles je devrais me soumettre, les interdictions qui me sont impos�es, les diff�rentes positions que je devrais adopter � la demande, les tenues qui me sont autoris�es et celles qui me sont interdites.

Pendant ce temps, elle prom�ne sa cravache dans mon entre fesses, samuse � explorer mon intimit� du bout des doigts. Ces manipulations me troublent et plusieurs fois, je laisse �chapper une feuille. Maladresse aussit�t sanctionn�e par un coup de cravache distrait ou une claque sur les fesses.

��Ce que tu peux �tre maladroite. � croire que tu le fais expr�s pour �tre punie���

Que simagine-t-elle�? Je fais de mon mieux pour accomplir ma besogne le plus rapidement possible mais l�tat dexcitation perp�tuelle auquel elle me r�duit memp�che de me concentrer correctement. Parfois, elle introduit ses doigts � lentr�e de mon sexe ou de mon anus. Ou bien, sadiquement, elle frotte tr�s lentement ses ongles contre mes muqueuses, samusant � me griffer l�g�rement. Mais la douleur nest pas au rendez-vous, mon d�sir est si fort que mes s�cr�tions me pr�servent du supplice en lubrifiant mes chairs.

Les derni�res feuilles constituent un contrat de soumission, qui s�tale sur une dizaine de pages. Je nai pas le temps de le lire.

��Donne-moi �a.�� Me dit-elle, une fois mon travail termin�.

Elle range le classeur dans un tiroir et se saisit de ma laisse. Dun geste sec, elle me fait descendre du bureau et, sans un mot, mentra�ne hors de la pi�ce.



� venir�: Premi�re soir�e avec Madame.



perverpeper@perverpeper.com

Vous pouvez trouver les illustrations sur mon site�: http://www.perverpeper.com


Review This Story || Author: Perverpeper
Previous Chapter Back to Content & Review of this story Next Chapter Display the whole story in new window (text only) Previous Story Back to List of Newest Stories Next Story Back to BDSM Library Home